lundi 30 novembre 2009

To be continued ^^


Ok Ok...mais le Tic sert a quoi quel est sont rôle ??

Les Tics bien ou pas cliquez ici pour voir le lien ^^?   
L’investissement dans les TIC serait l’un des principaux moteurs de compétitivité des entreprises. En effet, selon des études de l'OCDE, les TIC serait un facteur important de croissance économique aux États-Unis.

au niveau du système d'information :

Hausse de la productivité du travail pour la saisie de l'information, donc baisse des coûts. Délocalisation de la production (ex : centre d'appels). Meilleure connaissance de l'environnement, réactivité plus forte face à cet environnement, amélioration de l'efficacité de la prise de décision permise par une veille stratégique plus performante.

au niveau de la structure de l'entreprise et de la gestion du personnel :

Organisation moins hiérarchisée, partage d'information. Meilleure gestion des ressources humaines (recrutement, gestion des carrières plus facile).

au niveau commercial :

Nouveau circuit de production grâce à l'extension du marché potentiel (commerce électronique). Une baisse des coûts d'approvisionnement. Développement des innovations en matière de services et réponses aux besoins des consommateurs. Amélioration de l'image de marque de l'entreprise (entreprise innovante).

Technologie le Tic


Le terme TIC est une invention des ingénieurs réseaux. Le concept présente deux caractéristiques typiques des notions nouvelles :

il est fréquemment évoqué dans les débats contemporains

sa définition sémantique reste floue ; par exemple, le terme technologie qui signifie « discours sur la technique » est utilisé à la place de « technique » qui serait à la fois plus simple et plus exact.

Les TIC regroupent un ensemble de ressources nécessaires pour manipuler de l'information et particulièrement les ordinateurs, programmes et réseaux nécessaires pour la convertir, la stocker, la gérer, la transmettre et la retrouver.


On peut regrouper les TIC par secteurs suivants :



L'équipement informatique, serveurs, matériel informatique ;

La microélectronique et les composants ;

Les télécommunications et les réseaux informatiques ;

Le multimédia ;

Les services informatiques et les logiciels ;

Le commerce électronique et les médias électroniques.

Je vais faire un petite parenthése pour vous parler des Tics un animal?


Les technologies de l'information et de la communication (TIC ou NTIC pour « Nouvelles Technologies de l'Information et de la Communication » ou IT pour « Information Technology ») regroupent les techniques utilisées dans le traitement et la transmission des informations, principalement de l'informatique, de l'internet et des télécommunications.


Par extension, elles désignent leur secteur d'activité économique.

Après l'invention de l'écriture puis l'avènement de l'imprimerie, les premiers pas vers une société de l'information ont été marqués par le télégraphe électrique, puis le téléphone et la radiotéléphonie, alors que la télévision et l'Internet puis la télécommunication mobile et le GPS ont associé l'image au texte et à la parole "sans fil", l'internet et la télévision devenant accessibles sur le téléphone portable qui est aussi appareil photo.



Le rapprochement de l'informatique et des télécoms, dans la dernière décennie du XXe siècle ont bénéficié de la miniaturisation des composants, permettant de produire des appareils « multifonctions » à des prix accessibles, dès les années 2000.


Les usages des TIC ne cessent de s'étendre, surtout dans les pays riches, au risque localement d'accentuer la fracture numérique et sociale ainsi que le fossé entre les générations. De l'Agriculture de précision et de la gestion de la forêt (traçabilité des bois pour lutter contre le trafic), au monitoring global de l'environnement planétaire ou de la biodiversité, à la démocratie participative (TIC au service du développement durable) en passant par le commerce, la télémédecine, l'information, la gestion de multiples bases de données, la bourse, la robotique et les usages militaires, sans oublier l'aide aux handicapés (dont aveugles qui utilisent des synthétiseurs vocaux avancés ainsi que des plages braille éphémère), les TIC tendent à prendre une place croissante dans la vie humaine et le fonctionnement des sociétés. Certains craignent aussi une perte de liberté individuelle (effet Big Brother, intrusion croissante de la publicité ciblée et non-désirée...). Les prospectivistes s'accordent à penser que les TIC devraient prendre une place croissante et pourraient être à l'origine d'un nouveau paradigme civilisationnel .

dimanche 29 novembre 2009

Le nouveau départ ! Voilà mon stage commence le 1er février vous en serez un peu plus sur quesque la vie d'un éducateur d'ici peu vous aurez tous mes journaliers en ligne à trés bientôt j'espere :'D


Comme vous l'avez vue je vais travailler dans l'aide à la jeunesses : )


Les services de l’aide :


L’aide spécialisée apportée aux jeunes et aux familles en Communauté française se présente comme une combinaison fort originale entre des services publics et des services d’initiative privée, c’est-à-dire associative.



5. 1.a.- Institut public de protection de la jeunesse IPPJ : Lorsqu’un jeune a commis un fait particulièrement répréhensible (un fait qui, s’il était commis par un adulte, serait qualifié infraction), le Tribunal de la jeunesse peut confier ce jeune pour une période déterminée à une des cinq Institutions publiques de protection de la jeunesse (IPPJ) gérées par la Communauté française et investies de la prise en charge pédagogique et éducative de cette catégorie d'adolescents.

Quatre de ces institutions hébergent des garçons. Elles sont respectivement situées à Jumet et Wauthier-Braine (régime ouvert), Braine-le-Château (régime fermé) et Fraipont (régime ouvert, plus une section fermée).

La cinquième, qui dispose-t-elle aussi d’une section à régime fermé, est destinée aux filles et est située à St-Servais.

Le principe fédérateur des IPPJ est une attitude générale vis-à-vis du jeune. Individuellement, l’axe éducatif consiste à mettre en évidence les points à améliorer dans le comportement mais aussi à pointer les éléments positifs sur lesquels le jeune pourra s’appuyer pour se reconstruire une image personnelle moins stigmatisée. Il est bien difficile de retrouver et de redonner confiance après un parcours très difficile, malheureux ou dramatique. C’est l’objectif que poursuit la prise en charge intensive et très individuelle du jeune.

La finalité de ce travail est bien la réinsertion, dans le domaine familial d’abord, conformément à l’esprit du Décret de l’aide à la jeunesse, mais aussi sous l’angle scolaire et professionnel.

5. 2.- Privés :

Le secteur de l’aide à la jeunesse a entrepris une vaste réforme des services privés. Les principaux aspects de celle-ci ont été demandés par les services eux-mêmes, notamment à la suite des assises de l’aide à la jeunesse organisées en 1994, à la suite de la radioscopie demandée par le ministre de l’époque. Cette réforme s’est donc étendue sur trois législatures: initiée sous le Ministre Lebrun, elle a été conçue par la Ministre Onkelinx et finalement mise en œuvre par le Ministre Maréchal.

La Réforme transforme fondamentalement le paysage des services privés, notamment en les diversifiant de manière significative; elle sera pleinement opérationnelle à la fin de l’année 2002. Il est donc nécessaire de présenter d’une part les catégories de services encore existantes, puis de dresser le paysage qui sera celui de l’après réforme.

5. 2.a.- Services d'aide en milieu ouvert (AMO) : Les Services d’aide en milieu ouvert (AMO) proposent une aide préventive au bénéfice des jeunes dans leur milieu de vie et dans leurs rapports avec l’environnement social. Les AMO ne sont pas mandatées et interviennent uniquement à la demande du jeune, de sa famille ou de ses familiers.

5. 2.b.- Centres d'orientation éducative (COE) : Les Centres d’orientation éducative (COE) ont pour mission d’apporter au jeune, à ses parents ou à ses familiers un accompagnement social, éducatif et psychologique dans le milieu socio-familial ou, après l’accompagnement, une mise en autonomie. Ils sont mandatés par le Tribunal de la jeunesse, par le Conseiller ou par le Directeur de l’aide à la jeunesse.

5. 2.c.- Services de prestations éducatives ou philanthropiques (SPEP) : Les Services de prestations éducatives ou philanthropiques (SPEP) s’adressent à des mineurs ayant commis un fait qualifié infraction. Ils travaillent avec le Tribunal de la jeunesse et ont pour mission d’apporter une réponse éducative à la délinquance juvénile en organisant des prestations éducatives ou philanthropiques pour la réinsertion sociale des jeunes concernés.

5. 2.d.- Services de pro tutelle (SP) : Les Services de pro tutelle (SP) ont pour activité exclusive la recherche et l’accompagnement de protuteurs, c’est-à-dire de personnes qualifiées pour exercer le droit de garde, d’éducation, de représentation, de consentement aux actes et d’administration des biens de jeunes dont les parents ont été déchu totalement ou partiellement. Ces services travaillent sur mandat du Conseiller de l’aide à la jeunesse.

5. 2.e.- Services de placement familial (SPF) : Les Services de placement familial (SPF) organisent l’accueil et l’éducation par des particuliers d’enfants qui ont besoin d’une aide spécialisée en dehors de leur milieu familial de vie, et assurent l’encadrement pédagogique et social de ces particuliers. Par ailleurs, ils travaillent, si possible, au maintien des relations personnelles des jeunes et de leurs proches et mettent sur pied des programmes d’aide en vue de leur réinsertion dans leur milieu d’origine ou en logement autonome. Ils travaillent sur mandat du Tribunal de la jeunesse, du Conseiller ou du Directeur de l'aide à la jeunesse.

5. 2.f.- Centres d’accueil d’urgence (CAU) : Les Centres d’accueil d’urgence (CAU) offrent un accueil collectif de jeunes nécessitant un hébergement en urgence et limité à un court laps de temps hors de leur milieu familial de vie. Ils élaborent également un programme d’aide à mettre en place à l’issue de l’accueil. Ils travaillent sur mandat du Tribunal de la jeunesse, du Conseiller ou du Directeur de l’aide à la jeunesse.

5. 2.g.- Centres de premier accueil (CPA) : Les Centres de premier accueil (CPA) organisent l’accueil et l’éducation de jeunes qui nécessitent une aide spécialisée en dehors de leur milieu familial et placés pour la première fois ou après un premier placement en CAU. Ces services sont mandatés par le Tribunal de la jeunesse, le Conseiller ou le Directeur de l’aide à la jeunesse.

5. 2.h.- Centres d’observation et d’orientation (COO) : Les Centres d’observation et d’orientation (COO) accueillent et éduquent des jeunes qui présentent des troubles ou des comportements nécessitant une aide spécialisée en dehors de leur milieu familial, et justifiant par leur gravité l’observation, l’analyse approfondie et une action spécifique visant au dépassement de la crise par un encadrement adapté à cette fin. Ces services travaillent sur mandat du Tribunal de la jeunesse, du Conseiller ou du Directeur de l’aide à la jeunesse.

5. 3.-Nouvelles catégories :

Dans le souci de s’adapter le plus finement possible aux nouveaux besoins sociaux, comme dans la préoccupation de réserver les mesures de placement d’enfants aux situations où elles constituent le seul moyen éducatif possible, la Réforme des services privés a créé une gamme importante de nouveaux services, définis par arrêtés ministériels en 1999.

5. 3.a.- Services d’aide et d’intervention éducative (SAIE) : Les Services d’aide et d’intervention éducative (SAIE) apportent aux jeunes et à leurs familles une aide éducative dans le milieu familial de vie ou en logement autonome.

5. 3.b.- Services d’accueil et d’aide éducative (SAAE) : Les Services d’accueil et d’aide éducative (SAAE) sont appelés à remplir les missions suivantes :

- organiser l’accueil et l’éducation de jeunes qui nécessitent une aide spécialisée en dehors de leur milieu familial.

- mettre en œuvre des programmes d’aide en vue de la réinsertion de ces jeunes dans leur milieu de vie ;

- apporter une aide aux jeunes et aux familles en difficulté par des actions socio-éducatives dans leur milieu de vie ;

- assurer la supervision et l’encadrement pédagogique et social de jeunes qui vivent en logement autonome.

5. 3.c.- Centres d’aide aux enfants victimes de maltraitance (CAEVM) : Les Centres d’aide aux enfants victimes de maltraitance (CAEVM). Ces services, en collaboration avec les équipes SOS-Enfants, ont pour mission :

- d’organiser en permanence et si nécessaire en urgence l’hébergement d’enfants pour lesquels on suspecte ou on a constaté des maltraitances ;

- d’offrir à ces enfants l’aide spécialisée et pluridisciplinaire dont ils ont besoin, et d’élaborer un programme d’aide à mettre en œuvre pour la suite ;

- d’apporter une aide psychosociale ou pédagogique aux personnes qui assurent la garde de l’enfant.

5. 3.d.- Centres d’accueil spécialisés (CAS) : Les Centres d’accueil spécialisés (CAS) organisent l’accueil collectif de jeunes nécessitant une aide urgente et spécialisée eu égard à des comportements violents ou agressifs, des problèmes psychologiques graves, des faits qualifiés infraction.


5. 3.e.- Centres de jour (CJ) : Les Centres de jour (CJ) ont pour mission d’apporter une aide éducative par l’accueil en journée et la guidance de jeunes dans leur milieu familial de vie.


5. 3.f.- Services qui mettent en œuvre un Projet pédagogique particulier (PPP) : Ces services organisent un projet particulier et exceptionnel d’aide aux jeunes en difficulté selon des modalités non prévues par les arrêtés spécifiques, afin de leur permettre de réussir une expérience de vie originale et positive. Ces services peuvent travailler avec ou sans mandat.

Le Tribunal de la Jeunesse (TJ)


Le pouvoir judiciaire demeure le meilleur garant du respect de la défense. C’est la raison pour laquelle le projet de décret prévoit la compétence exclusive du tribunal de la jeunesse en matière d’aide imposée. Cependant, celle-ci est limitée au strict nécessaire.



Le tribunal de la jeunesse connaît des mesures de contrainte à prendre à l’égard de l’enfant, de sa famille ou de ses familiers lorsque l’intégrité physique ou psychique d’un enfant est actuellement et gravement compromise et lorsqu’une des personnes investies de l’autorité parentale ou ayant la garde de l’enfant en droit ou en fait refuse l’aide du conseiller ou néglige de la mettre en œuvre. Le Tribunal de la jeunesse décide de la nature de l’intervention ; son application ne peut dépasser le délai fixé par l’Exécutif et est de la compétence exclusive du directeur de l’aide à la jeunesse.

Conseil Communautaire de l’Aide à la Jeunesse (CCAJ)


Il émet des avis sur les normes d’agrément et de subvention des services ; sur le règlement général des IPPJ et sur les sanctions à prendre lorsque les droit des jeunes ne sont pas respectés.

En outre, il peut faire des propositions sur l’orientation générale de l’aide ; sur la programmation de l’infrastructure privée, l’organisation de l’infrastructure publique ; et sur le code de déontologie.

Conseils d’arrondissement de l’aide à la jeunesse (CAAJ


Le CAAJ est la structure clé de la prévention générale et est constituée pour chaque arrondissement, le Conseil est composé de 12 à 24 membres compétents en matière d’aide à la jeunesse qui sont désignés par l’exécutif et il est renouvelable tous les six ans.


 Fonctionnement :


- Le conseil est compétent en matière de prévention générale, coordonne et supervise les actions mises en place.

- Encourage l’affectation de nouvelles subventions pour la prévention générale.

- Informe les autorités publiques sur les carences et réussites concernant le développement de la personnalité et l’insertion sociale du jeune.

- Publie annuellement un rapport d’activités comprenant le bilan, l’évaluation et le programme des interventions conseillées.

Il existe aussi un organe d’avis institué pour l’ensemble de la Communauté française, c’est le :

Fonctionnement :


- Le service de l’aide à la jeunesse SAJ est confié à un conseiller, dont les principales missions sont : l’aide individuelle de jeunes en difficulté ou en danger et la prévention générale.




- L’aide individuelle s’adresse prioritairement aux jeunes de moins de 18 ans, aux enfants dont la santé ou la sécurité est en danger. Mais s’adresse exceptionnellement aux personnes de moins de 20 ans qui ont sollicité l’aide avant l’âge de 18 ans.



- Pour toute aide individuelle il est nécessaire d’avoir l’accord formel du jeune bénéficiaire.



C’est le tribunal de la jeunesse qui garantit le respect des droits du jeune.

La loi /i\ services d’aide à la jeunesse (SAJ)


Le 8 août 1980, la loi spéciale de réformes institutionnelles octroie aux communautés la compétence des matières dites « personnalisables » et mentionne à titre de celles-ci « la protection de la jeunesse, à l’exception des matières relevant du droit civil, du droit pénal et du droit judiciaire ».



La loi spéciale du 8 août 1988 modifiant la loi spéciale du 8 août 1980, s’inscrit dans la ligne de cet arrêt et augmente considérablement la compétence des communautés. Elle y inclut explicitement la protection judiciaire des mineurs en danger, en ce compris la compétence du tribunal de la jeunesse à l’égard de ces mineurs.


La Communauté française est reconnue compétente pour organiser un système de protection de la jeunesse « déjudiciarisé » : l’aide à la jeunesse peut voir le jour.


Le décret ’91 : ce décret présente, en fonction de la procédure suivie, à la fois des garanties juridiques et une cohérence organisationnelle quant au système proposé. Il tente, en même temps, de prendre en considération les contingences institutionnelles du secteur et les nécessités sociales des jeunes et des familles, nécessités identifiées notamment par les acteurs du terrain.











c'est bien beaux tout ça mais sa sert à quoi l'aide a la jeunesse ?-?


Pour apporter l’aide aux jeunes en difficulté ou en danger et à leur famille, le Décret du 4 mars 1991 a créé dans chaque arrondissement judiciaire (il y en a treize en Communauté française) un Service de l’aide à la jeunesse (SAJ), dirigé par un Conseiller de l’aide à la jeunesse et composé d’une section sociale, d’une section administrative et d’une section de prévention générale, le Conseil d’arrondissement d’aide à la jeunesse (CAAJ). Le SAJ intervient soit à la demande des intéressés, soit à la suite d’inquiétudes qui lui sont communiquées par des personnes ou des services extérieurs.

Table des matiéres : noms plus leurs traductions^^

1.- Service d’aide à la jeunesse (SAJ)



2.- Conseil d’arrondissement de l’aide à la jeunesse (CAAJ)



3.- Conseil communautaire de l’aide à la jeunesse (CCAJ)



4.- Tribunal de la jeunesse (TJ)



5.- Services de l’aide



5. 1.- Publics



5. 1.a.- Institution publique de protection de la jeunesse (IPPJ



5. 2.- Privés



5. 2.a.- Services d’aide en milieu ouvert (AMO)



5. 2.b.- Centres d’orientation éducative (COE)



5. 2.c.- Services de prestations éducatives ou philanthropiques (SPEP)



5. 2.d.- Service de pro-tutelle (SP)



5. 2.e.- Service de placement familial (SPF)



5. 2.f.- Centres d’accueil d’urgence (CAU)



5. 2.g.- Centres de premier accueil (CPA)



5. 2.h.- Centres d’observation et orientation (COO)



5. 3.- Nouvelles catégories



5. 3.a.- Services d’aide et d’intervention éducative (SAIE)



5. 3.b.- Services d’accueil et d’aide éducative (SAAE)



5. 3.c.- Centres d’aide aux enfants victimes de maltraitance (CAEVM)



5. 3.d.- Centres d’accueil spécialisé (CAS)



5. 3.e.- Centres de jour (CJ)



5. 3.f.- Services qui mettent en œuvre un projet pédagogique particulier (PPP)

jeudi 19 novembre 2009

Aide à la jeunesse !!! :/


Pour les qualités :

Ecoute, patience, équilibre, persévérance, disponibilité sont autant de qualités que doit posséder un éducateur spécialisé. Et bien sûr aimer le travail en équipe car il n’agit jamais seul, mais avec différents partenaires, d’autres éducateurs, des animateurs, des médecins, des enseignants, des psychiatres... C’est toujours avec une équipe pluridisciplinaire qu’il met en place pour chaque enfant un projet éducatif et évalue les progrès accomplis. Il faut avoir une vraie force mentale.

Les rôles différent selon l'endroit où ils travailllent


Elle est complexe et multiple. Un éducateur spécialisé est avant tout un médiateur et son rôle diffère selon le lieu d’exercice de son métier.


En milieu fermé (foyers d’accueil pour enfants et jeunes inadaptés, instituts médico-éducatifs, ateliers protégés, hôpitaux de jour...), il assiste, par exemple, au quotidien, les personnes en difficulté ou inadaptées.
Les éducateurs spécialisés sont également nombreux à travailler en milieu ouvert, par exemple, dans des clubs de prévention où ils accompagnent des jeunes en dehors des horaires scolaires. Certains prennent en charge des groupes de soutien scolaire ou d’insertion dans le cadre de centres sociaux. Ils peuvent également être appelés à agir auprès d’un jeune, de sa famille, de son employeur ou de son professeur.
Enfin, les éducateurs spécialisés peuvent apporter leur concours au développement social des quartiers en collaboration avec des agents de développement local, notamment dans des centres d’hébergement pour des jeunes sans domicile fixe ou dans des entreprises d’insertion pour des chômeurs de longue durée.

Ses qualités et rôles >< ?


La mission d'un éducateur Spécialisé c'est quoi ?_?


En milieu fermé (foyers d’accueil pour enfants et jeunes inadaptés, instituts médico-éducatifs, ateliers protégés, hôpitaux de jour...), il assiste, par exemple, au quotidien, les personnes en difficulté ou inadaptées.
Les éducateurs spécialisés sont également nombreux à travailler en milieu ouvert, par exemple, dans des clubs de prévention où ils accompagnent des jeunes en dehors des horaires scolaires. Certains prennent en charge des groupes de soutien scolaire ou d’insertion dans le cadre de centres sociaux. Ils peuvent également être appelés à agir auprès d’un jeune, de sa famille, de son employeur ou de son professeur.
Enfin, les éducateurs spécialisés peuvent apporter leur concours au développement social des quartiers en collaboration avec des agents de développement local, notamment dans des centres d’hébergement pour des jeunes sans domicile fixe ou dans des entreprises d’insertion pour des chômeurs de longue durée.

Un éducateur Spécialisé c'est quoi ? : - )

Qui est-il ?_?

C’est le spécialiste de l’inadaptation. L’éducateur spécialisé intervient auprès de populations très variées : enfants ou adolescents présentant des troubles du comportement ou des difficultés d’insertion ; handicapés moteurs, mentaux ou sensoriels ; adultes en difficultés sociales, physiques ou psychologiques.


jeudi 12 novembre 2009

Mon aventure commence ici : -)



Bonjour a tous, je suis un étudiant en éducateur spécialisé 1ére année.
Je vais essayer de tenir un petit blog sur mes expériences, mes inspiration  mes ressentis,sur les types de populations avec qui je vais travailler.Je vais vous montrer mes lieux de stages quelques activités réalisées pendant mon stage.